Bonsoir Alnitak,
Je précise donc mon interrogation:
Des arguments, tels que je les ai compris, du livre "Le Sanctuaire Intérieur" (R.M. Lewis) et des communications du SETI, il m'a semblé lire comme argument à l'existence de l'âme que lorsque la mort survient, le corps est toujours là mais le "moi" semble l'avoir quitté. A d'autres endroits de ce livre et des communications, il y a l'analogie de l'électricité (âme) qui passe dans une ampoule (corps physique) et lui permet de s'allumer (disons, esprit, conscience). Enfin, l'âme est également mis en parallèle avec la conscience subjective qui permet le fonctionnement des organes vitaux pour nous garder en vie sans que nous y pensions avec notre conscience objective.
D'où ma question, cette analogie de l'ampoule et de l'électricité peut-être vue comme un corps tellement "abimé" qu'il ne peut plus accueillir l'âme qui le maintenait en vie.
Mais un corps "abimé" ne reçoit plus d'oxygène dans les cellules passé un certain stage (le plus évident serait l'étouffement en avalant de travers), dans ce cas, le corps ne reçoit plus l'oxygène qui le maintenant en vie... sans passer par une explication nécessitant l'âme qui maintient les fonctions vitales.
J'irai plus loin : ce n'est pas parce qu'il n'y a pas d'âme dans un corps que celui-ci n'est pas vivant, a contrario sans corps pas d'âme. On peut appliquer le même raisonnement à l'ampoule.
=> Sans corps suffisament sain pour respirer, pas d'oxygène distribué dans le corps pour reprendre mon interrogation.
=> Mais dans le cas de l'oxygène, sans oxygène, pas de corps pouvant vivre (du moins pas l'Homme)
Je ne sais pas si mon interrogation est plus claire.
En résumé, je crois comprendre l'argument pour l'existence de l'âme, mais je ne vois pas en quoi un mécanisme purement biologique et matérialiste ne pourrait l'expliquer également ?
Je vous prie de ne pas prendre cette discussion pour une "provocation" gratuite mais pour une réelle interrogation.
Fraternellement,